Project Description
Corps et armes
Titres
Corps et armes
Les mauvais choix
L’année du dragon
Make believe
La baie
La mémoire vive
San Antonio de la luna
L’été sans fin (ghost track)
Paroles
Il n’est pas de hasard,
il est des rendez-vous,
pas de coïncidence
Aller vers son destin,
l’amour au creux des mains,
la démarche paisible
Porter au fond de soi,
l’intuition qui flamboie,
l’aventure belle et pure
Celle qui nous révèle,
superbes et enfantins,
au plus profond de l’âme
Porté par l’allégresse,
et la douceur de vivre,
de l’été qui commence
La rumeur de Paris,
comme une symphonie,
comme la mer qui balance
J’arrive au rendez-vous,
dans l’épaisse fumée,
le monde me bouscule
Réfugié dans un coin
et observant de loin
la foule qui ondule
Mais le choc imminent
sublime et aveuglant
Sans prévenir arrive
Je m’avance et je vois,
que tu viens comme moi,
d’une planète invisible
Où la pudeur du cœur,
impose le respect
la confiance sereine
Et plus tu t’ouvres à moi
et plus je m’aperçois
que lentement je m’ouvre
Et plus je m’ouvre à toi
et plus je m’aperçois
que lentement tu t’ouvres
Il fut long le chemin
et les pièges nombreux
avant que l’on se trouve
Il fut long le chemin
les mirages nombreux
avant que l’on se trouve
Ce n’est pas un hasard,
c’est notre rendez-vous
pas une coïncidence.
Ces instants fragiles sont emplis d’espoir
Même si j’ai été la cible et la proie
De mille aiguilles, de cent coups bas
Qui m’éloignent trop de moi
La perfection pure n’a souvent pas de prix
La rechercher me détruit
Puis je reviens à la vie
Vois tout au fond de moi
Ce brasier qui ne s’éteint pas
Que vive la flamme, que vive la flamme!
Pour à nouveau prendre feu et brûler jusqu’au bout
C’est irrépressible, l’espoir
S’accrocher à des détails, l’espoir
Si la vie se charge de me refaire tomber
Sans personne à mes côtés
Si à nouveau la solitude me déprave
Tu sais, même les épaves
Sont de la trempe des braves
Vois tout au fond de moi
Ce brasier qui ne s’éteint pas
Que vive la flamme, que vive la flamme!
Pour à nouveau prendre feu et brûler jusqu’au bout.
L’amour fou qui fait battre mes veines
Te dire tout, de la chaleur qui m’enfièvre
Provoque en toi des réactions en chaîne
Viens à moi
Tu avances et recules, de cent pas
Ce suspense pur, aura-t-il raison de moi ?
A ton rythme et à ton propre tempo
Tu viendras
Rendez-vous à Vedra
Pris par le vertige, je te crie oublie-moi
Mais pris tu me délivres, plus je suis près de toi
L’amour fou, magique et contagieux
Qui rend fou, intrépide et dangereux
Les percussions de ton cœur se déchaînent
Viens à moi
Rendez-vous à Vedra
Fuis, la voie est libre, je te crie oublie-moi
Mais plus je me délivre, plus je suis près de toi
Trop fort ton corps vibre, tu me cris oublie-moi
Mais plus je te délivre, plus tu es près de moi
Tu viens à moi.
Mes apparences ne te trompent pas
Tu perces sous le sourire conquérant
L’ego défaillant
Tu fais voler le vernis en éclat
Et tu démontes le mécanisme complexe
De mes défenses et de mes réflexes
Car tu me vois vraiment
Car tu me vois, tu me ressens
Tel que je suis vraiment
Car tu me vois et tu m’entends
Tu rouvres la cage où, surprotégé,
Je m’étais à double tour enfermé
De peur de t’aimer et de m’engager
Plus d’artifices, ni de lignes floues
Mes plus gros défauts, mes pires faiblesses
Sont pour toi mes principaux atouts
Et je me vois vraiment
Dans le miroir que tu me tends
Tel que je suis vraiment
Alors je cède et je me rends
Pour toi, je dépose corps et armes
Je dépose corps et armes
Au moment où je m’y attendais le moins
Un ange m’est apparu dans un coin
Je dépose corps et armes
Je dépose corps et armes
Tu mets en lumière toutes mes zones d’ombre
A l’intérieur de moi, il faisait froid et sombre
Et je me vois vraiment
Dans le miroir que tu me tends
Tel que je sois vraiment
Alors je cède et je me rends
Pour toi, je dépose corps et armes
Je dépose corps et armes
Tu mets en lumière toutes mes zones d’ombre
A l’intérieur de moi, il faisait froid et sombre
Je dépose corps et armes
Je dépose corps et armes
Je n’oppose aucune sorte de résistance
Tu me fais renaître et je savoure ma chance
Car tu me vois vraiment
Car tu me vois, tu me ressens
Tel que je suis vraiment
Car tu me vois et tu m’entend.
Je prends mon élan, mon corps se détend
Et plane dans l’eau glacée
Parmi les algues multicolorées
A nouveau, je viens te chercher
A contre-courant des bancs de poissons
Des bas fonds du chemin des noyés
Premier secours à personne à danger
N’aie pas peur, je viens te chercher
En nage indienne ou en brasse coulée
A la surface, je vais te hisser
Oh, serre-moi fort, si ton corps se fait plus léger
Nous pourrons remonter
La route de perles fines de corail
Hérissée d’embûches et d’écailles
Tu fais de moi le champion du plongeon
Des sorcières, des mers, des dragons
A bout de force, je t’ai déposée
Essoufflée, sur le sable séchée
Toutes tes cellules pétillent comme des bulles
Peu à peu réoxygénées
En nage indienne ou en brasse coulée
S’en sortir indemne et te hisser
Oh, serre-moi fort, si ton corps se fait plus léger
Je pourrai nous sauver
En nage indienne ou en brasse coulée
S’en sortir indemne et te hisser
Oh, serre-moi fort, si ton coeur se fait plus léger
je pourrai nous sauver.
Tu t’endors dans la chambre à côté
Une fois la porte refermée
Le silence est assourdissant
Je l’aime à son corps défendant
Toutes les histoires d’amour se ressemblent
Mêmes profils étranges, seuls les visages changent
Ton rejet à l’impact d’une balle
Appuie là où ça fait le plus mal
L’expérience ne me sert à rien
J’ai failli perdre mon âme dans tes mains
Toutes les histoires d’amour se ressemblent
Mêmes scenarii étranges, seuls les visages changent
Quand on veut offrir ce que l’on a pas
A quelqu’un qui n’en veut vraiment pas
Inconsciemment reproduire chaque fois
La toute première fois
Le tout premier mauvais choix
Toutes les histoires d’amour sont les mêmes
Toujours les mêmes problèmes
Toujours les mêmes dilemmes.
Comme un dragon de feu
Qui transperce les étoiles
Réinsuffle la vie et la déraison
Équilibre les contraires
Les défenses tombent
Nos esprits se confondent
Et installent l’harmonie
D’apprendre à se donner
Le meilleur de nous-mêmes
Et en sortir grandis
En toi, l’eau dans le désert
En moi, le sage et le fou
Vont apprendre à ne plus vivre seuls
Être parfois tenté
D’influencer le destin
Triompher des non-dits, épancher ta peine
Oh, mais enfin les larmes te libèrent
La fuite en avant et les voies aériennes
Ne nous détourneront pas de la chance donnée
Ne lutte pas contre moi, ni contre toi-même
Oh, et si j’ai trébuché pour atteindre ton âme
Tu as su me comprendre et je saurai t’attendre.
What you don’t have – Make believe
What you’re wanting for – Make believe
Anyone, anywhere, anything that you need
Make believe – who you want to be
Make believe – what you’re gonna do
Make believe – who you want to love
Make believe
What you don’t feel – Make believe
What you want to be – Make believe
Anytime, anyplace, anyway that you please
Make believe – who you want to be
Make believe – what you’re gonna do
Make believe – who you want to love
Make believe
Believe – who you want to be
Make believe – what you’re gonna do
Make believe – who you want to love
Make believe
I used to go a thousand miles
To get to where I haven’t been before
But everything I feel and everything I want
Is waiting there right outside my door
Who you want to be
what you’re gonna do,
Who you want to love
Who you want to be,
what you’re gonna do,
Who you want to love
Who you want to be,
what you’re gonna do,
Who you want to love
Who you want to be,
what you’re gonna do,
Who you want to love.
Quitter l’aéroport, écourter ces adieux
L’émotion est trop vive et mon cœur bat pour deux
Bientôt de ton hublot, l’île ne sera qu’un point sur l’eau
En partant, tu emportes le meilleur de moi-même
Je roule vers la baie, son matin lumineux
Ses atomes d’azur, vibrants et vénéneux
Rien n’a changé pourtant, le jardin lourd est différent
En restant seul, je deviens étranger à moi-même
J’ai perdu, je m’incline, t’en fais pas
Quelqu’un d’autre guidera tes pas
Si mes signaux traversent les airs, l’océan
Personne n’entend
Dans la chambre déserte, les souvenirs affluent
Et je baisse la tête comme un guerrier vaincu
La plaie encore ouverte, mépris de soi réactivé
En restant seul, je deviens un danger pour moi-même
J’ai perdu, je m’incline, j’ai compris
Et je disparaîtrai de ta vie
Si mes signaux traversent les airs, l’océan
Personne n’entend
J’ai perdu, je m’incline, je comprends
Puisque là-bas, on t’aime, on t’attend
Si mes signaux traversent les airs, l’océan
Plus personne n’entend.
Après l’averse, l’éclaircie
Le vent du sud nous rend amnésiques
En sursis, la joie de nos bons moments
Mais sans garantie d’un bonheur tranquille
L’amour renaît plusieurs fois
Ma mémoire vive est pleine de toi
Mon meilleur souvenir
Bien à toi
Après l’orage, l’accalmie
Anesthésie toute nostalgie
Ravive nos cœurs convalescents
L’amour amitié devient moins fragile
L’amour renaît plusieurs fois
Ma mémoire vive est pleine de toi
Mon meilleur avenir
Bien à toi
Deux croissants de lune dans le même anneau
Scintillent au-dessus de l’eau
Si tu fermes les yeux, tu les sens apparaître
Tatoués sur ta peau
L’amour revit plusieurs fois
Ma mémoire vive est pleine de toi
Mon meilleur avenir
Bien à toi.
Toutes les vérités seront bonnes à entendre
et seront bonnes à dire
Je ne crains pas mal et me méfie du bien, les normes sont bien pires
Apaisés, les démons qui menacent,
mon reflet dans la glace, fusionnel face à face
Je découvre l’été, l’été sans fin
180 degrés d’immense liberté,
de chaleur m’envahissent
Retrouver comme un frère,
celui que je suis vraiment
et sa rage de vivre
L’inconscient peu à peu se déleste
de souvenirs épars, dispersés au hasard
Je découvre l’été, l’été sans fin
Un sentiment d’éternité,
je découvre l’été sans fin
Ce soir, la lune est pleine et la mer est argent,
l’instant est symbolique
Pour qu’une collision épidermique ait lieu,
somptueuse et limpide
Je suis prêt, je me sens fort et libre, tu donnes et je reçois, mes ailes se déploient
Je découvre l’été, l’été sans fin
Pour l’éternité, avec toi, l’été sans fin.