Project Description
L’invitation
Pochette
Edition simple
Edition limitée Carrefour (avec photos 40 pages)
Edition ultimate (avec dvd an evening with daho)
Titres
Cet air étrange
Obsession
L’adorer
Les fleurs de l’interdit
Boulevard des capucines
Toi jamais toujours
Un merveilleux été
Sur la terre comme au ciel
La vie continuera
Cap Falcon
Cd bonus – Be my guest tonight (dans l’édition collector)
Little bit of a rain de Karen Dalton
I can’t escape from you de Hank Williams
Cirrus minor de Pink Floyd
My girl has gone de Smokey Robinson
Glad to be unhappy de Billie Hollyday
Paroles
Ah je brûle je brûle, les tentacules m’attrapant du fond des enfers
me donnent la cruelle sensation de marcher pieds nus sur du verre.
La bonté de ta main généreuse et parfaite qui me fait signe d’avancer,
me donne l’aimable sensation d’être à la vie de nouveau convié, convié.
A la table des convives, convives
Qu’on vive jusqu’à ce que repu l’on en meurt.
Tu m’invites à prendre ma place à partager le miel des honneurs de ton coeur.
Volontiers j’accepte le meilleur traitement
Que l’on réserve tout exclusivement
Aux invités le festin nu, qui fait les langues au soir se délier, se délier yeah
Oh je brûle je brûle de goûter à présent à tous ces nectars affolants,
dont le poison noir et pourpre fait battre indécent le sang des amants.
Ton baiser confiant m’appelle à tout autre destin adoré,
me donne l’aimable sensation d’être à la vie de nouveau convié, convié.
Convié yeah
A qu’y puis à qu’y puis je, la liqueur volatile je veux toute la partager,
à la table des poètes, des assassins, tout comme moi ici conviés.
Volontiers j’accepte le meilleur traitement
Que l’on réserve tout exclusivement
Aux invités le festin nu, qui fait les langues au soir se délier, se délier yeah
yeah yeah yeah…
Tu as toujours cet air étrange, quand tu dis que je suis ton ange, ton gardien, dans cette chienne d’existence, chienne de vie, que tu me ressens comme un double, que je suis ton fauteur de trouble, que tous les autres sont vraiment trop cons et vraiment pourris, qu’au milieu des châteaux de sable, je reste ton élément stable et qu’avec moi, tu voudrais bien niquer la vie, mais qu’si tu flirtes avec les cimes, tu entrevois aussi l’abîme et qu’ça te fait très très peur mais aussi très envie.
Tu dis avec cet air étrange, que lorsque nos corps se mélangent, c’est une ultime symphonie, un pas vers l’infini, que tu me ressens comme un double et que ça jette en toi le trouble et que nous sommes, insolemment, gâtés pourris, que si tu flirtes avec les cimes, tu entrevois aussi l’abîme et qu’ça te fait très très peur mais aussi très envie, que si tu flirtes avec les anges, tu n’sais plus parfois sur quel pied danser et tu t’enfuis.
Tu dis qu’artiste et invivable, je pourrai bien aller au diable et bien souvent tu me hais, tu me maudis, que cet amour t’est dépendance, que ce serait ta délivrance, de me dire adieu, au revoir et pour tout merci. Alors tu n’est plus tout là, puis tu m’recherches partout et c’est reparti.
Comme un chant qui m’obsède, lancinant et obscène, tous les signaux d’alerte disent attention ! ton âme me possède, mais en moi je réfrène mille pulsions secrètes, mille démons.
Ta résistance m’attise, j’en brise le mécanisme et tu perds tout contrôle de la situation.
Si tu fais tous tes choix, uniquement en fonction de tes peurs, jamais de tes envies, la morsure du souvenir, reviendra t’envahir et je deviendrai à mon tour ton obsession.
La parure du souvenir, viendra tout embellir, la puissance du désir, viendra te faire souffrir, la morsure du désir sera ton repentir et je deviendrai à mon tour, ton obsession.
Comme un chant qui t’obsède, je t’offense et tu cèdes à toutes les terreurs, la superstition.
De l’idée fixe le syndrome, tu as tous les symptômes , oui tu perds tout contrôle de la situation.
Si tu fais tous tes choix uniquement en fonction de tes peurs, jamais de tes envies, la morsure du souvenir, reviendra t’envahir et je deviendrai à mon tour ton obsession.
La parure du souvenir, viendra tout embellir, la puissance du désir, viendra te dégourdir, la morsure du désir, viendra te faire souffrir et je deviendrai à mon tour ton obsession.
La morsure du souvenir, reviendra t’envahir, la puissance du désir viendra te faire grandir, la morsure du désir viendra te faire souffrir et je deviendrai a mon tour ton obsession.
Avant que l’infidèle à la beauté assassine, ne me morde la main, ne me couronne d’épines, désadorer l’adorer
Avant que ses baisers ne deviennent couteaux, que ses bouquets de fleurs ne me fassent la peau, désadorer l’adorer, mais arborer ce chagrin si haut, que je porte, beau comme un drapeau, en vainqueur, dont on admire le sort, courageux, qui sait aimer trop fort, car comme les dieux qu’on adore adorer j’adorais l’adorer.
J’ai été si vivant chaque minute, chaque seconde, mais avant d’abhorrer ses humeurs vagabondes, désadorer l’adorer.
Avant que l’infidèle à nouveau ne sévisse, qu’inéluctablement, le destin s’accomplisse, désadorer l’adorer, mais arborer ce chagrin si haut, que je porte, beau comme un drapeau en vainqueur dont on admire le sort, courageux, qui sait aimer trop fort, car comme les dieux qu’on adore adorer, j’adorais l’adorer.
Désadorer l’adorer…
Laisse toi cueillir, âme soeur exquise, à la marge, limite, banquise, le désordre des sens, le démon qui te pique, comme la nature chimique de mon attachement à toi, à la ténébreuse clarté, cueille, cueille ces fleurs de l’insolence, avant qu’elles ne soient fanées.
Laisse toi cueillir, âme soeur cosmique, à la marge, limite, toxique, déflorons ensemble, le danger des possibles, le céleste lieu est ici, cueille, cueille, de ta belle arrogance, les fleurs de l’interdit, sinon nous aurons toute la mort, pour vivre avec tes remords, mes regrets.
Laisse toi cueillir, âme soeur captive, à la marge, limite, addictive.
le tourbillon des sens, le serpent qui te pique, comme la nature unique de mon attachement à toi, à ta lumineuse merci.
Cueille, cueille, avec belle insouciance, les fleurs de l’interdit, sinon nous aurons toute la mort pour vivre avec tes remords, mes regrets.
Boulevard des Capucines, ton nom qui tout là haut scintille est le même que le mien.C’est l’Olympia qui célèbre, ton étoile qui là haut s’élève et je vis ton succès de loin. Sur scène, tu es le centre, la foule aimante vacille, j’observe lorsque tu chantes, que brillent les yeux des filles.
Je n’approcherai pas les loges, où l’on te couvre d’amitié et d’éloges, car la pudeur me le défend.
De loin tu sembles fort et grave, plus que les garçons de ton âge, comme lorsque tu étais enfant.
Rue Caumartin je te guette et l’appréhension me vide, tous ces regrets douloureux, me rongent comme l’acide.
Je te demande par cette lettre mon garçon, de m’accorder ton pardon.
Tu sais quelle connerie ma jeunesse, mon silence, quelle erreur, quelle perte de temps, si je n’ai pas su te dire à temps, que je pensais à toi, tout le temps, mon guerrier, mon roi, mon petit prince.
Epris de femmes et de vie légère, j’ai tant aimé, je suis sincère, l’étreinte de la liberté.
Ni mari ni père et volage, courant d’air et de passage, sauras tu me regarder, mais tu ignores mes signes, toi mon cruel funambule, alors je crache ces lignes, fracassé et somnambule.
Je te demande par cette lettre mon garçon, de m’accorder ton pardon, tu sais, quelle atrocité, cette guerre, mon départ, quelle erreur, quelle perte de temps, si je n’ai pas su te dire à temps, que tu m’as manqué tout le temps, mon guerrier, mon roi, mon petit prince, mon petit prince, pardon.
toi jamais, vermine douce, Satan de soie, soleil levant, toi plus jamais, cheval de feu, ô toi toujours, crapaud de dieu, cantharide acide, tubéreuse mortelle, mon ange doré.
Toi jamais mais insiste encore un peu, ô toi toujours, encore et toujours, le jour se lève et je t’adore, rubis glorieux, lame d’argent, poignard sculpté dans mon coeur, toi, jamais.
Toi jamais, toi jamais sauf si tu ris dans les matins chagrins, sauf si tu couches dans les fleurs, loin du malheur, des migraines folles et des bagues à poison, alors toi peut être, toi toujours ö mon maître, traîtresse…
Toi toujours…
Oh oui toi plus que jamais, bouquet final, pissotiére sacrée, mon âme, toi jamais, jamais plus loin de toi, tu brûles, tu flambes dans mes veines, comme le nectar assassin, tiens tiens, prends ma main pour toujours, pour toujours, toujours pour toi, les envolées du paradis, les flammes de la vie des amandiers en fleurs sur l’horizon, toujours toi.
A jamais, jamais jamais, toujours, toi que j’aimais nuit et jour, ö pleurs de joie, toi à jamais toujours…
Toi, jamais.
Rien ne semble pouvoir venir troubler ce merveilleux été, la maison est grande ouverte et aérée, j’ai réparé, la toiture et repeint les murs, j’ai pansé mes blessures et refait ma vie, ici.
Il flotte un si merveilleux parfum sucré de fleurs éclatées, comme un je ne sais quoi de sacré, dans le ciel d’été, l’azur est aveuglant et pur, comme une éclaboussure, dans ce cadre idéal et toi, toi tu veux savoir aujourd’hui pourquoi je ne t’aime plus, pourquoi depuis un moment, on ne se capte plus et tu pleures en secret toutes les larmes de ton corps, comme si j’étais mort.
Il règne une si oppressante chaleur, comme une torpeur, alors que monte très haut le mercure, tu rases les murs, l’odeur de souffre de ton coeur noir, envahit le soir, d’une sexuelle tension.
Les effluves lourdes de la glycine, prés de la piscine, enivrent mes sens comme la fêlure qui te défigure.
A pleine bouche, je lèche tes larmes et le sang, qui perle lentement de tes poignets blancs et toi, oui toi, tu veux savoir pourquoi aujourd’hui je ne t’aime plus, pourquoi depuis un moment, je ne te désire plus et tu pleures en secret toutes les larmes de ton corps, comme si j’étais mort.
Piètres mensonges, fuites, sentiments confus, comment as tu pu ? Quelle désespérance ! Que sont devenues ta droiture et ton innocence ? Désormais, en toi, désolé mais j’ai perdu confiance.
Tu veux savoir pourquoi aujourd’hui je ne t’aime plus, pourquoi depuis un moment, on ne se comprend plus et tu pleures en secret toutes les larmes de ton corps, comme si j’étais mort.
Tu pleures en secret toutes les larmes de ton corps, fais comme si j’étais mort.
Je suis escorté par la chance et l’objet de tous mes désirs, fout le feu à mon existence et tente de me conquérir et je suis libre comme l’air, oui je suis libre comme l’air…
je n’ai plus de liens, plus d’attaches riche de ne rien posséder.
Ce n’est pas l’espoir qui me berce, de vaines chimères insensées, je sens sa flèche qui transperce, le cuivre de mon bouclier, je me sens sur la terre comme au septième ciel, si rien n’est éternel, j’adresse maintenant et ici, une ultime prière, avant d’être poussière, oui, avant de devenir sain d’esprit m’enivrer toute la nuit d’son animale poésie, sur terre, comme au septième ciel, si rien n’est éternel, j’adresse maintenant et ici, une ultime prière, avant d’être poussière, oui, avant de devenir pur esprit, m’enivrer toute la nuit, d’son infernale poésie.
Il est radical ce séisme, qui bouscule mes habitudes, voir à travers ce nouveau prisme, qui explose mes certitudes et je suis libre comme l’air, oui je suis libre comme l’air…
Je n’ai plus de liens, plus d’attaches mais par sa chaleur irradié, comme si l’astre de feu, dans l’atmosphère était entré et que je provoquais les dieux à force de le contempler, je me sens sur la terre comme au septième ciel, si rien n’est éternel, j’adresse maintenant et ici, une ultime prière, avant d’être poussière, oui, avant de devenir sain d’esprit m’enivrer toute la nuit d’sa contagieuse fantaisie, sur terre, comme au septième ciel, si rien n’est éternel, j’adresse maintenant et ici, une ultime prière, avant d’être poussière, oui, avant de devenir pur esprit, m’enivrer toute la nuit, d’son animale poésie.
J’me démerde, ce n’est rien, la pluie dans les yeux, fermer son coeur, s’en remettre à Dieu.
Je fais Mea Culpa, l’amour ne suffit pas, j’ai fait c’que j’ai pu avec c’que t’as pas.
Tu t’démerdes plutôt bien, le glam, le décor, le goût de l’image et du confort.
Tu fais Mea Culpa, non, mais tu te fous de moi, va faire c’que tu peux avec c’que t’as pas.
Mes prières s’ront exaucées, mes pensées, qui ne sont que griefs et rejet, deviendront indolores, dans le bleu des accords et la vie continuera, ça ira, la mer effacera toute trace de combat, ça ira, ça ira, la vie continuera…
Désaccord entre l’âme et le corps, même si la flamme au coeur brille encore, tu fais mea culpa, aimer tu ne sais pas, t’as fait c’que t’as pu avec c’que t’as pas.
Mes prières s’ront exaucées, mes pensées qui ne sont que griefs et rejet, deviendront indolores dans le feu des alcools et la vie continuera, ça ira, la mer effacera toute trace de combat, oublie moi, la vie continuera…
La douleur s’évapore, dans le bleu des accords et la vie continuera, ça ira, la mer effacera toute trace de nos pas, j’serais plus là, la vie continuera… j’serai plus là…
Voyageur égaré, sans passé et sans route tracée, détourné, sous les pluies torrentielles, les étincelles, les orages de l’été et la valse folle de ton ombre, dans la ville assoupie, avant la fin de la nuit, je reviens, je reviens…
Voyageur au long cours, ce retour, à l’envers, à rebours, mon parcours, sous les pluies torrentielles, les arcs en ciel, les flocons de l’été, le languide twist des décombres, sous un ciel ébloui, je reviens ici, pour refaire ma vie.
Voyageur en sursis, jeune sera la nuit, à te fuir je renonce, lit de roses, mon amour, je reviens, voyageur clandestin, aux lueurs du matin, je serai en chemin, lit de roses, mon amour, me voici.
Etranger sur la terre, solitaire, brûle mon âme fière, en hiver, sous les pluies torrentielles, les étincelles, les orages de l’été et la valse folle de ton ombre, dans la ville assoupie, je reviens ici, pour refaire ma vie, voyageur en sursis, jeune sera la nuit, à te fuir je renonce, lit de roses, mon amour, je reviens.
Voyageur clandestin aux lueurs du matin, je serai en chemin, lit de roses, mon amour me voici.
If I should leave you
Try to remember the good times
Warm days filled with sunshine
And just a little bit of rain
And just a little bit of rain
And if you look back
Try to forget all the bad times
Lonely blue and sad times
And just a little bit of rain
And just a little bit of rain
And if I look back
I’ll remember all the good times
Warm days filled with sunshine
And just a little bit of rain
And just a little bit of rain
If I should leave you
Try to remember all the good times
Warm days filled with sunshine
And just a little bit of rain
And just a little bit of rain
I’ve tried and tried to run and hide
To find a life thats new
But wherever I go I always know
I cant escape from you
A jug of wine to numb my mind
But what good does it do?
The jug runs dry and still I cry
I cant escape from you
These wasted years are souvenirs
Of love I thought was true
Your memory is chained to me
I cant escape from you
There is no end, I cant pretend
That dreams will soon come true
A slave too long to a heart of stone
I cant escape from you
In a churchyard by a river,
Lazing in the haze of midday,
Laughing in the grasses and the graze.
Yellow bird, you are alone in singing and in flying on,
In and in leaving. Willow weeping in the water,
Waving to the river daughters,
Swaying in the ripples and the reeds.
On a trip to Cirrus Minor, saw a crater in the sun
A thousand miles of moonlight later.
When you were mine, I loved you so much
I got a thrill from your every touch
You went away with somebody else
Now all I can say to comfort myself
Is that my girl has gone and said goodbye
Don’t you cry, hold your head up high
Don’t give up, give love one more try
There’s a right girl for every guy
Although your love wasn’t right for me
Good for another it will, maybe
Some girls were just made for some guys
Now I’ve got to make myself realize
That my girl has gone and said goodbye
But don’t you cry, hold your head up high
Don’t give up, give love one more try
There’s a right girl for every guy
Now all I can say to comfort myself
Is that my girl has gone and said goodbye
Don’t you cry, hold your head up high
Don’t give up, give love one more try
There’s a right girl for every guy
Look at yourself.
If you had the sense of humor,
You would laught to beat the band.
Look at yourself.
Do you still belive in rumor
That romance is simply grand?
Since you took it right
On the chin,
You have lost that bright
Toothpaste grin.
My mental state is all a jumble.
I sit around and sadly mumble.
Fools rush in, so here I am,
Very glad to be unhappy.
Unrequited loves a bore,
And Ive got it pretty bad.
But for someone you adore,
Its a pleasure to be sad
Like a straying baby lamb
With no mammy and no pappy,
Im so unhappy,
But oh, so glad.