Project Description
Réévolution
Titres
L’orage
Les remparts
Vis à vis
Le jour et la nuit
L’inconstant
Les jalousies
Talisman
Les liens d’Eros
Au Jack au mois d’avril
Paroles
Ennemi de soi même, comment aimer les autres ?
Etranger à soi même, étranger pour les autres
Qui réduit au silence, le fracas de l’enfance
Et avance masqué, en attendant sa chance
Et sous les apparences, le prix du vetement
Personne ne voit les plaies et le sang, de celui qui survit
Mais quand demain se lévera, ah, je serais libre, retour à toi
Quand demain se lévera, ah, je serais libre, retour à moi
Si l’amour me couronne et s’il me crucifie
Elève mes pensées dans un hymne à la vie
Et que monte trés haut la flamme des bougies
Que que soit le drapeau ou le Dieu que l’on prie
Et sous les apparences, vulnérable et changeant
Personne ne léche les plaies et le sang de celui qui survit
Mais quand demain se lèvera, ah, je serais libre, retour à toi
Mais quand demain se lèvera, ah, je serais libre, retour à moi
Quand demain se lèvera, ah, je serais libre et prés de toi
Retour à toi et moi
Soldats de la rue ou anges déçus
Que tous les coeurs vaillants oubliés
Et les âmes pures revêtent l’armure
Dans un monde réévolué
Réécrire l’histoire, à nos étendards
De quel côté l’épée va frapper
Pour un peu d’amour, au son des tambours
Dans un monde réévolué
Puisque l’avenir dépend de notre foi
De notre irrépressible, envie de vivre
Le futur s’ra bien plus que parfait
ooh debout et le poing levé !
Pour la vérité, pour la liberté
Le spirituel, la beauté
Les arts et les sciences et la différence
Dans un monde réevolué
Puisque l’avenir, dépend de notre foi
De notre irrépressible envie de vivre
Le futur s’ra bien plus que parfait
ooh debout et le poing levé
(repeat)
La douleur me rend insensible
Et je ne me reconnais pas
C’est brutalement que j’excise
Ce lien d’âme à chaque pas
Lentement je perds l’équilibre Que mes priéres montent veers toi
Dieu, pourquoi me sentir misérable ?
Pour quoi sentir l’orage en moi ?
Des fléches j’étais la cible
Je n’ai vraiment pas eu le choix
Renoncer me met au supplice
Mes priéres montent vers toi
Dieu, pourquoi me sentir si coupable ?
Pourquoi sentir l’orage en moi ?
Dieu du Coran ou de la Bible
Donne moi la force et la foi, enfin
C’était un amour impossible…
Pourquoi me sentir coupable
Pourquoi sentir l’orage en moi ?
Pourquoi me sentir misérable ?
Pourquoi sentir l’orage en moi ?
If excessif, accro compulsif
If adhésif, over réatif
If exclusif et trop émotif
If impulsif qui est le fautif
If intrusif, plus combatif, sous sédatifs en soins intensifs, cherche le motif
If négatif, maladif, inexpressif et plus vraiment vif, cherche le motif
If trop captif et décoratif
If défensif, à cran, offensif
If incisifs, mes coups de canifs
If agressif, qui est le fautif ?
If intrusif, plus combatif, sous sédatifs en soins intensifs, cherche le motif
If négatif, maladif, inexpressif et plus vraiment vif, cherche le motif
If évasif, approximatif
If c’est plus l’kif, de jouer au calife
If trop nocif et trop addictif
If fugitif, maniaco dépressif
If trop massifs, abusifs à ton actif, les coups sucessifs, trop lourd le passif
If décisif, je m’rebiffe, mon départ est impératif et définitif, définitif.
La passion se nourrit d’absences, de silence
De souffrances exquises partagées ?
Tu croyais que pour me dresser
Il fallait me mettre en attente et en danger
Et Bâtir autour de toi des remparts
Te parer de mystères et de fards
Me résister, garder les distances
Puis ouvrir le feux par souci d’élégance
La passion se nourrit du doute, au goutte à goutte
Baisers, coups de pieds, alternés ?
Tu croyais que pour me dresser
Il fallait me mettre en attente et en danger
Et bâtir autour de toi des remparts
Te parer de mystères et de fards
Me résister, garder les distances
Puis ouvrir le feu par soucis d’élégance
Humm, ton putain de système, est vraiment extrême SM
Tu croyais que pour me dresser
Il fallait me mettre ne attente et en danger
Et bâtir autour de toi des remparts
Te parer de mystères et de fards
Me résister, garder les distances
Puis ouvrir le feu par souci d’élégance
Mais j’t’aime ainsi
La fenêtre est sur la cour, clic clac sur tous les contours
De ta silhouette athlétique, je l’avoue j’en suis fanatique
Ultime et photogénique
Un éloge au chic de la France
La vraie beauté n’en a jamais conscience
La fenêtre est sur la cour, clic clac sur tous les contours
De ta silhouette en Slimane, je dois admettre que je suis fan
De tout ce que tu émanes
Un éloge au chic de la France
A la beauté qui n’en a pas conscience
Eloge à ta beauté
Vis à vis, témoin ensorcelé sans répit
Je photographie à ton insu toute ta vie
La fenêtre est sur la cour, clic clac sur tous les contours
De tes courbes, ta plastique, mélange de hip et classique
Une vraie bombe artistique
Un éloge au chic de la France
A la beauté qui n’en a pas conscience
Eloge à ta beauté
Vis à vis, témoin ensorcelé et sans répit
Je photographie à ton insu toute ta vie
Je vis ta vie, en vis à vis
Je vis ta vie, je vis à vis
J’constate qu’aujourd’hui toi tu me fuis
Mais ton souvenir lui me poursuit
Le jour et la nuit
Je ne pense qu’à toi mais j’is avec lui
Ce maudit souvenir qui me poursuit
Le jour et la nuit
Qu’il aille donc voir ailleurs si j’y suis
Ce maudit souvenir qui me poursuit
Le jour et la nuit
J’constate qu’aujourd’hui toi tu me fuis
Mais ton souvenir lui me poursuit
Le jour et la nuit
Bien sur j’ai voulu partir, mais c’est toi que je voulais fuir, dans l’inconstance
La licence, le plaisir et les substituts de toi, plonger cent fois
Apaiser la crainte du vide, dans l’erreur, mon inaptitude au bonheur
Bien sur, si j’ai fait le con, tu as mille fois raison, de perdre confiance
Mais je dompterai l’orgueil et braverai mes peurs, et cette fièvre que l’on pardonne à la jeunesse
Désapprendre tout pour réapprendre tout
Réapprendre tout de toi, dans ta lumière et dans tes pas
Je me fous de ce que l’on dira
Et ce qu’on pensera de moi
Je veux faire explose mes chaînes
Et tous les boulets que je traîne
Je réapprendrait tout de toi
Je réapprendrai tout de toi
Bien sur si j’ai fait le con, éternellement vagabond, en déroute
J’t’ai dans la tête et le sang, ailleurs je ne cherchais que toi, et dans tes bras, délesté du poison du doute
Désapprendre tout pour réapprendre tout
Réapprendre tout de toi
Dans ta lumière et dans tes pas
Je me fous de ce qu’on dira
Et ce qu’on pensera de moi
Je veux faire exploser mes chaînes
Et tous les boulets que je traîne
Je réapprendrai tout, tout de toi
Je réapprendrai tout de toi
Sentinelle idolâtre et gardien du temple de tes nuits
Je monte la garde et tu commences à vivre ton autre vie
Et l’inconscient, t’ouvre grand ses lourdes jalousies
Et l’inconscient, t’ouvre grand ses lourdes jalousies
Soldat de ton souffle, dans ce long voyage attentif je te suis
Les sommets ou le gouffre, dans quelle situation es-tu et quel conflit ?
Lorsque l’inconscient, t’ouvre grand ses lourdes jalousies
Lorsque l’inconscient, t’ouvre grand ses lourdes jalousies
Au matin tu reviens, le jour disperse toutes les ombres de la nuit
Profonde amnésie, tu ne te souviens même plus de qui je suis
Et ton inconscient referme ses lourdes jalousies
Et ton inconscient referme ses lourdes jalousies
Loin des chants des sirènes, envoûtant
Des chimères, des fables et du vent
Viens me retrouver pour l’éternité
Loin des trésors de sable mouvant
De l’or, des épices et des rubans
Viens me retrouver, pour l’éternité
Oh combattre pour d’éternelles retrouvailles
Il ne sera pas de plus noble bataille
A célébrer
Dans le désert où s’arrête le temps
A l’heure où le soleil est safran
Viens me retrouver, pour l’éternité
Ce talisman protège les amants
Des mirages et des ouragans
Viens me retrouver, pour l’éternité
Oh combattre d’éternelles retrouvailles
Il ne sera pas de plus noble batailles
A célébrer
Oh nous aurons ni les honneurs ni les médaille
Mais il ne sera pas de plus noble bataille
A célébrer
Marianne Faithfull lit un extrait de “La venus en fourrure” de son grand-oncle Leopold Von Sacher-Masoch (Tchou Editeur)
Aimer, être aimé, quel bonheur ! Et pourtant, comme tout cet éclat est terne, auprès de la félicité remplie de tourments, que l’on éprouve en adorant une femme qui fait de l’homme son jouet, en devenant l’esclave d’une créature tyrannique, qui vous piétine impitoyablement”
Elle est là, ma Venus, allongée, le corps et les poignets sanglés
Dans son imper en latex elle m’observe, comme la proie de ses projets
Attitude polaire de surface, sourire de Joconde apaisé
Elle est la main qui me cherche et me frôle, du bout de ses ongles laqués
Oh surtout ne crie pas d’avant d’avoir mal me dit-elle, les corps étrangers
Ont le goût capiteux du parfum des roses, du romanesque et du secret
Les liens d’Eros tout puissants, sont-ils plus attachants que les liens du coeur ?
Les liens d’Eros tout puissants, sont-ils plus attachants que les liens du sang ?
Qui est la victime de qui, dit-elle, le sacrifié ou son bourreau ?
Peu importe le flacon si c’est èphèmère mais pourvu que le charme opère
Pénètre jusqu’au fondations de mon âme, souffle t-elle, avant de céder
Libérée par l’impact de mes morsures, par la chaleur de mes baisers
Les liens d’Eros tout puissants sont-ils plus attachants que les liens du coeur ?
Les liens d’Eros tout puissants sont-ils plus attachants que les liens du sang ?
C’était au Jack au mois d’avril
Je m’étais découvert d’un fil
Etait-ce le hasard ou l’instinct
Ou bien le clin d’oeil du destin ?
Confirmant l’oracle annoncé
La chance vient toujours frappée
Lorsqu’on s’y attend le mois
Et le meilleur arrive enfin
La bière a un goût de miel, de vanille et caramel
Traverser Paris en courant
Sur la seule magie de l’instant
Du message clair de tes yeux
Quand l’amour fait signe suivez le !
Toujours trop long à m’attacher
Et si long à me détacher
Mon coeur sauvage et arrogant
Se découvre tendre et confiant
La bière a un goût de miel, de vanille et caramel
C’était au Jack au mois d’avril
Je m’étais découvert d’un fil
Et le meilleur m’arrive enfin
Souffrir n’aura pas été vain…