Project Description
Réserection
Titres
Résérection
X amours
Le Baiser français
Jungle pulse (Zdar version)
Paroles
Et c’est alors que supposément blessé par le commun des mortels,
qu’en habit pourpre et net,
de mes cendres fiction,
pour l’encore inconnu,
attendu,
je résérecte encore et encore,
pour toi,
je résérecte encore et encore
Hello, hello, hello
Immergée dans la nuit de lave
Etoile filante et nue sans entraves
Dans le chaos, se tord, s’étire et se déhanche
Luisant dans sa tenue élastique
Et je tombe (patatras) dans la vapeur super tropicale
Je suis celui qui te boit et qui te dévore
Où tu veux, quand tu veux
Ces petits seins pharaoniques
Dansant comme des balles de plastique
Tracent des huit, des hiéroglyphes
Sur ma cervelle en ébullition
Et soudain, j’entends crier les lions
Les noirs jaguars et les gibbons mignons
J’entends claquer l’armée des fouets
Là, tout près, dans la forêt
La jungle, de temps dehors
La jungle, in and out
Je pulse, et pulse encore
Je pulse, in and out
Dardé par les phares
Empoisonné du soleil noir
Je pulse et pulse encore
C’est le moment de la fusion
Toutes les hormones en communication
Dans le magma interlope
En aveugle nyctalope
Collés au plaf’ roulant des pelles
Nous prenons feu éternel
Dans un halo blanc, électrique
Dans un frisson pré-orgastique
(…)
Fardé par les tares
Empoisonné du soleil noir
Je pulse et pulse encore.
Entre vous et moi, c’est difficile d’être deux
Car pour être à deux, faut être adroit
Être trois rend difficile d’être à toi
Entre vous et moi, vos émois
Quand on aime, on ne compte pas
Entre vous et moi, c’est difficile d’être à vous
Car pour être à vous, faut être adroit
Plus de trois rend difficile d’être à toi
Entre vous et moi, vos ébats
Entre vous et moi, c’est difficile d’être deux
Car pour être à deux, faut être adroit
Quand on aime, quand on aime, on ne compte pas
Quand on aime, quand on aime, on ne compte pas
Quand on aime, quand on aime, on ne compte pas
He’s on the phone, doesn’t want to go home
The hotel life (forget your wife), you’re on your own Academia girl
Her life’s a gas, she loves the trash inside his world
Can’t fide his way there, got the cash, feeling flash, in Leicester Square
Ooh-ooh, yes
She never meant to call, she did anyway
And now he’s trying to find the world to say someday
It’s five to twelve and she’s nervous as hell with nothing to lose, it’s hard to choose, it’s hard to tell
And her’s is lilac and gold
The thing she has, she’s feeling sad, she’s feeling old
Skin is dewdrop and warm, the lipstic kiss, reminisce, or wait will dawn
Et c’est alors que supposément blessé par le commun des mortels,
qu’en habit pourpre et net, de mes cendres fiction,
pour l’encore inconnu, attendu,
je résérecte encore et encore, pour toi, je résérecte encore et encore.
He’s on the phone and she wants to go home,
shoes in hand, don’t make a sound, it’s time to go.
Tu aimes les baisers français
Parfaits, profonds
Qui font vaciller tes défenses, ta raison
J’entrouve les portes de ma prison
Et t’offre le choix entre deux options
Te consommer, te consumer
Et contre toute attente te faire plonger
Contre toute attente te faire plonger
Tu aimes les baisers français
Et les frissons
Exercer sur d’autres une fascination
Pour te jouer de mes illusions
Tu m’offres le choix entre deux tensions
M’attirer, me repousser
Et contre toute attente me faire plonger
Contre toute attente me faire plonger
Tu aimes les baisers français
Et les garçons
J’aime provoquer des perturbations
Aller voir ailleurs dans d’autres dimensions
Pour ne pas se perdre une conclusion
Se pardonner, se pardonner
Et contre toute attente se retrouver
Contre toute attente se retrouver.